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Nathalie LE GOHEBEL d’après un article paru dans Usinenouvelle.fr du 18/12/2009

L’ANIA (Association Nationale des Industries Agroalimentaires), après avoir « claqué la porte » du MEDEF, se voit infliger le même sort par l’ADEPALE (Association des entreprises de produits alimentaires élaborés). Le plus surprenant encore est que c’est exactement  pour la même raison : le déséquilibre entre les prestations et les cotisations.
L’ADEPALE, qui regroupe plus de 200 industriels des produits transformés, avec de grands noms comme Andros, Delpeyrat, Euralis Gastronomie, Fleury Michon, Doux, Labeyrie, LDC, Martinet, Materne, Sodebo, Stalaven, représentait une des principales fédérations de l’ANIA et le troisième contributeur au budget.
L’Adepale avait pris cette décision à titre conservatoire il y a six mois, et l’a confirmée mercredi lors de son conseil d’administration. «Nous ne nous sommes plus reconnus ces dernières années dans l’Ania et considérons que nos demandes ne sont pas prises en considération, en particulier sur la priorisation des missions de l’Ania et son fonctionnement», a déclaré Francis Pêtre, son président, dans un communiqué.