Cet article est PREMIUM, et nécessite un abonnement payant pour lire la suite

Je m’identifie
Créer mon compte

Créez votre compte dès maintenant puis contactez-nous pour accéder aux articles Premium et/ou Lettre Export.

Inscription

Temps estimé - 2 min

Anne-Sophie Malhère. D’après une étude parue dans British Medical Journal, février 2016.

Cette étude de cohorte prospective a suivi 124 086 hommes et femmes pendant 24 ans, dans plusieurs Etats américains. L’objectif était d’analyser le lien entre la consommation de flavonoïdes (sous-classe de polyphénols) et la prise de poids.

Les résultats ont montré qu’une plus grande consommation de flavonoïdes était associée à une surcharge pondérale moindre, quel que soit l’âge ou le sexe des participants. Trois sous-catégories ont été plus fortement associées à ces résultats : les anthocyanosides (présents dans les myrtilles et les fraises), les polymères de flavonoïdes (présents dans le thé et les pommes) et les flavonols (thé, oignon, etc.).  

Référence : Monica L Bertoia, Eric B Rimm, Kenneth J Mukamal, Frank B Hu, Walter C Willett, Aedín Cassidy ; Dietary flavonoid intake and weight maintenance: three prospective cohorts of 124086 US men and women followed for up to 24 years ; British Medical Journal 2016; 352 (Published 28 January 2016).