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Doriane LANGLAIS. D'après LSA, le 23 novembre 2017.

LSA et l’industriel Fleury Michon se sont associés pour mener deux enquêtes sur le “manger sain”. Les résultats de l’enquête confirment ce qui semble se dessiner depuis plusieurs années : le manger mieux préoccupe aussi bien les consommateurs que les distributeurs, même si quelques points de vue divergent.

Globalement, 82 % des distributeurs déclarent que leurs clients ont parmi leurs préoccupations principales, le fait de manger mieux. Lorsque l’on pose la question directement aux consommateurs, ces derniers le confirment (87 % y voit une priorité). Autre point sur lequel s’accord distributeurs et consommateurs : chaque maillon de la chaîne est acteur du “manger mieux”.

Là où les différences se dessinent, c’est par exemple sur la question du bio que les distributeurs cconsidèrent à 87 % comme la croissance la plus importante, alors que du côté des consommateurs ils ne sont que 45 %. Ces derniers distinguent d’ailleurs bien le “manger mieux” du “manger bio”. A l’inverse, les consommateurs accordent plus d’importance au “manger local” ce qui est encore assez peu perçu du côté des distributeurs.

Le principal obstacle perçu aussi bien par les consommateurs que les distributeurs est le coût. En effet, pour 80 % des consommateurs et 69 % des distributeurs manger sain coûte plus cher.

Retrouvez plus de résultats à l’enquête sur le site de LSA.