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Alors que l’engouement pour les aliments enrichis en protéines bat son plein, le fournisseur d’ingrédients Glanbia
Nutritionals met en évidence dans une étude, l’intérêt des consommateurs pour des en-cas enrichis en protéines sur de nouveaux segments.
Selon l’étude de Glanbia portée sur un échantillon de 3000 personnes en Allemagne, en France, en Suède et en Italie, les consommateurs délaissent les produits moins bons pour la santé (sodas, bonbons, chocolat, chips…) pour des produits aux allégations « faible/sans sucre », « source de… », « riche en…). Les produits enrichis en protéines sont considérés comme une référence en termes de santé – 46 % des consommateurs pensent que les barres protéinées constituent une collation saine, tandis que 16 % des consommateurs utilisent désormais des collations enrichies en protéines telles que des barres protéinées, des poudres, des céréales et des crêpes une fois par semaine.
Les consommateurs veulent plus de choix
De nouveaux produits enrichis en protéines font leur entrée sur ce marché allant des pâtisseries « saines » aux barres chocolatées enrichies. Les consommateurs européens de barres protéinées manifestent un intérêt pour les cookies protéinés (50%), les brownies (47%) et les chips protéinées (34%). Les produits de boulangerie tels que les pâtisseries et les beignets enrichis en protéines (30 %) sont également très appréciés, ainsi que les petits formats comme les bouchées protéinées (30 %) et les balls (24 %), tandis que les tartinades protéinées sont une autre opportunité, avec 34% exprimant un intérêt pour ce type de produit. Selon l’étude, le goût reste un aspect non négligeable pour les consommateurs suivi par une teneur élevée en protéines et une faible teneur en sucre notamment pour les boissons (shakes) et les barres protéinées.
Un marché en pleine expansion
Toujours dans un but d’innover, les industriels sont à la recherche de nouveautés pour enrichir leurs produits en protéines.
Par exemple, en réponse à la demande des consommateurs de réduire leur consommation de protéines d’origine animale, les poudres de protéines à base de plantes connaissent une croissance explosive (à base de pois, de soja, de chanvre…).
D’autres grandes innovations voient le jour grâce aux nombreuses avancées technologiques. C’est le cas par exemple de MOOLESS, une protéine de lactosérum mais sans lait de vache. Cette protéine, identique à la protéine de lait de vache, est fabriquée par fermentation. La microflore reçoit le schéma génétique de la protéine de lactosérum et grâce au processus de fermentation, une véritable protéine de lait est fabriquée.
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