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Nazila Senehipour. D’après une brève parue dans LSA, le 16 avril 2009 et le site de l’AFGC

Le système d’étiquetage nutritionnel des trafic light né en Grande Bretagne fait polémique en Australie.

Alors que le principe semblait acquis et que les industriels commençaient à étiqueter leurs produits, notamment les céréales de petit déjeuner, l’Australian Food and Grocery Council (AFGC) rend un avis négatif, jugeant les trafic lights "simplistes", et de peu d’intérêt.

D’après le chef exécutif de l’AFGC, le jury de parents pense que dire que ce système de feu rouge, orange et vert indiquant les niveaux de lipides, sucre et sel sur les emballages des aliments permet aux parents de faire des choix plus éclairés est trompeur.

Il n’existe pour l’instant aucune étude scientifique ou officielle démontrant qu’un système d’étiquetage nutritionnel serait meilleur qu’un autre.

L’AFGC a lancé en 2006 un système d’étiquetage basé sur les « Daily Intakes Guide » sur plus de 1100 céréales, fromages, biscuits ou boissons, et indiquant les besoins moyens en lipides, sucres ou sel. Cet étiquetage apportant des informations factuelles aurait moins de chance d’être trompeur pour le consommateur. Un récent sondage réalisé sur 1200 personnes montre que 74% des consommateurs connaissent le système d’étiquetage « Daily Intake », et 66% d’entre eux déclarent qu’il est facile à comprendre.

Pour plus d’informations sur le "Daily Intakes Guide" : [url@ http://www.afgc.org.au/index.cfm?id=436]CLIQUER ICI[/url]

Pour plus d’informations sur le "Trafic Light" : [url@http://www.eatwell.gov.uk/foodlabels/trafficlights/ ]CLIQUER ICI[/url]

SOURCE : [url@http://www.afgc.org.au]www.afgc.org.au[/url]