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En février dernier, un groupe de parlementaires européens s’est saisi d’un sujet relatif à l’étiquetage et à l’information consommateur : l’utilisation du terme “naturel” et de ses dérivés.

En effet, il n’y a a pas de réglementation à ce sujet au niveau européen, en dehors de cas particuliers comme les allégations nutritionnelles du type “source naturelle de vitamine D”. Certains états-membres (c’est le cas de la France) ont donné des lignes directrices concernant les procédés compatibles avec les termes “naturel” ou “d’origine naturelle”.

La lettre des députés européens à la commissaire Stella Kyriades a pour objectif de pousser la Commission Européenne à légiférer sur la question. En effet, ce terme est très en vogue car associée à une réelle valeur ajoutée pour les consommateurs, et désigne des réalités très différentes. Il se pourrait donc que le terme “naturel” soit prochainement réglementé, défini et limité aux aliments sans OGM, sans substances de synthèses (additifs…) et 100 % biodégradables.

Pour accéder au courrier des eurodéputés à la Commission, c’est sur le site de Safe Food Advocacy.