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Guillaume JUMEAUX. D’après la FAO, le 5 mars 2018.

Selon la FAO (Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture), au Mozambique :

  • 35 % de la population est en situation d’insécurité alimentaire ;
  • 43 % des enfants de moins de 5 ans souffrent de malnutrition chronique.

Les femmes, particulièrement les femmes enceintes, et les jeunes enfantssont les groupes les plus vulnérables.

Pour permettre aux membres des communautés de produire chez eux ce dont ils ont besoin pour une meilleure alimentation, des femmes ont été formées par la FAO, puis à leur tour font de l’éducation nutritionnelle auprès de leurs pairs grâce par le biais de potagers. Ainsi, cela permet aux bénéficiaires (estimés au nombre de 30 000 mères), en plus d’acquérir des connaissances en nutrition, d’apprendre à cultiver des fruits et légumes afin d’avoir une meilleure disponibilité d’aliments au sein du foyer et combattre les déficiences, notamment en micronutriments.

L’objectif d’utiliser l’éducation nutritionnelle dans les communautés est de favoriser les répercussions positives au sein des foyers pour induire des résultats bénéfiques pour la santé de la population au niveau national.

Pour suivre l’ensemble des actions réalisés par la FAO sur la thématique nutrition, rendez-vous ici.