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Céline Le Stunff. D’après la note de l’Anses publiée le 28 juin 2012

Dans le cadre de son expertise sur les perturbateurs endocriniens, l’Anses a publié en septembre 2011 deux rapports sur le bisphénol A, l’un relatif aux effets sanitaires du bisphénol A, l’autre à ses usages. Sur la base de ces travaux, l’Anses a considéré qu’il était prioritaire de limiter l’exposition des populations les plus sensibles : nourrissons, jeunes enfants, femmes enceintes et allaitantes. Cela passe notamment par la substitution du bisphénol A dans les matériaux au contact des denrées alimentaires. Un appel à contributions a été lancé en septembre 2011 pour recueillir des données scientifiques sur les produits de substitution existants, leur innocuité et leur efficacité.

L’Agence a reçu une vingtaine de réponses de la part d’agences nationales, associations, entreprises, fédérations professionnelles, universités… Dans la note publiée fin juin, l’Anses présente ces contributions ainsi qu’un état des lieux des alternatives au bisphénol A existantes. A ce jour, 73 ont été identifiées et sont présentées en annexes de la note. Une présentation détaillée de ces substances sera développée dans le rapport d’expertise collective sur l’évaluation des risques sanitaires du BPA dont la publication est prévue fin 2012.

Pour en savoir plus : http://www.anses.fr/Documents/CHIM2009sa0331.pdf