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Céline Le Stunff. D’après Les Cahiers de Nutrition et de Diététique, fév. 2009.
La nutrition, tant par les apports énergétiques que par la composition en nutriments du régime alimentaire semble jouer un rôle non négligeable sur la fonction ovulatoire, la qualité ovocytaire et l’implantation embryonnaire.
Il semble en effet exister un régime favorable à la fertilité avec une consommation de glucides à faible charge glycémique, une consommation d’AGMI plutôt que d’AG trans, une consommation de protéines d’origine végétale plutôt qu’animale et une supplémentation en fer et multivitamines. L’adhésion à ce type d’alimentation est associée à un risque plus faible d’infertilité par troubles de l’ovulation.
La combinaison d’au moins cinq facteurs de faible risque (comportements alimentaires décrits ci-dessus, contrôle du poids, pratique d’une activité physique régulière), diminue de 69% le risque d’infertilité.
Source : Donnadieu A et al. Nutrition et infertilité féminine. Cahiers de Nutrition et de Diététique. Février 2009 ;44(1):33-41.