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Anne-Sophie Malhère. D’après un article paru dans BJN, février 2012.

Certaines données suggérent qu’une carence en vitamine D pourrait contribuer à l’apparition de maladies cardiovasculaires.

L’objectif de cette étude clinique randomisée en double aveugle était d’observer l’effet de la vitamine D3 sur les facteurs de risque cardiovasculaire chez des femmes non ménopausées en bonne santé mais en situation de surpoids ou d’obésité. 77 femmes d’âge moyen 38 ans ont ainsi reçu pendant 12 semaines une supplémentation en vitamine D (25 µg/jour de cholécalciférol) ou un placebo. Les paramètres suivants ont été mesurés : pression artérielle, lipoprotéines sériques, apolipoprotéines et critères anthropométriques. L’apport alimentaire ainsi que l’activité physique ont également été enregistrés.

Les résultats ont montré que la supplémentation en vitamine D3 pouvait améliorer de façon significative les concentrations en HDL-cholestérol et en apoA-1 ainsi que le ratio LDL-cholestérol:apoB-100. La masse de graisse corporelle a également été significativement diminuée dans le groupe supplémenté en vitamine D3.


Référence : Salehpour A, Shidfar F, Hosseinpanah F, Vafa M, Razaghi M, Hoshiarrad A, Gohari M; Vitamin D3 and the risk of CVD in overweight and obese women: a randomised controlled trial ; British Journal of Nutrition ; 9 février 2012.