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Avec la consommation préconisée de probiotiques lors de la prise d’antibiotique, ces derniers se sont démocratisés auprès des consommateurs. Au-delà des promesses digestives ou immunités bien connues par les consommateurs, les probiotiques se positionnent aujourd’hui sur des secteurs pour lesquels ils étaient peu associés jusqu’à présent.
La recherche se penche sur le cerveau via l’axe intestin-cerveau, le syndrome métabolique et l’inflammation ou encore la santé osseuse.
De nouvelles catégories de probiotique arrivent à l’instar des « psychobiotiques ». Les « psychobiotiques » désignent des organismes vivants qui, lorsqu’ils sont intégrés en quantités adéquates, produisent un effet bénéfique sur la santé des patients souffrant de maladies psychiatriques.
De nombreuses études étayent l’idée que la prédominance ou l’absence de certaines espèces au sein du microbiote intestinal serait corrélée à des troubles psychologiques ou physiologiques. Ainsi plusieurs sociétés aux souches psychobiotiques prometteuses mènent des études cliniques pour observer les effets d’une supplémentation sur des personnes présentant un trouble psychologique ou physiologique.
Les probiotiques sont également présents sur la problématique de la gestion du poids. Démonstrations scientifiques à l’appui, les souches mises sur le marché ont prouvé non seulement leur efficacité mais aussi leur mécanisme d’action.
Des souches sont aussi à l’étude pour la prévention de la perte de densité osseuse. Cette nouvelle piste encore expérimentale serait intéressante pour répondre aux besoins de la population vieillissante.
Par ailleurs, la réglementation européenne montre des signes positifs qui contribuent à soutenir le développement des probiotiques : Voir l’article
Source : Actif’s Printemps 2021