Cet article est PREMIUM, et nécessite un abonnement payant pour lire la suite

Je m’identifie
Créer mon compte

Créez votre compte dès maintenant puis contactez-nous pour accéder aux articles Premium et/ou Lettre Export.

Inscription

Temps estimé - 3 min

Le vrac est au coeur des solutions pour les emballages de demain et la réduction des déchets. Déjà développé pour certains produits, l’alimentaire reste un secteur sensible et où le vrac semble le plus difficile à mettre en oeuvre. Mais alors pourquoi les français ne sont-ils pas plus réceptifs au vrac ? 

 

Une étude Feedback a interrogé plus de 1000 français pour comprendre leur comportement face au vrac. Les résultats sont étonnants : la moitié des français n’achètent pas spontanément de vrac car ils n’ont pas le réflexe. Ce n’est pas le 1er frein qui avait été imaginé par les industriels qui tentent de démocratiser cette pratique. En suivant, le manque d’hygiène, d‘informations ainsi que le prix prennent la suite du classement des motifs de non-achat en vrac. 

 

Certains rayons sont tout de même historiquement propices au vrac tels que les fruits et légumes ainsi que l’épicerie sèche. Ainsi 70% des français achètent en vrac, la moitié d’entre eux disent le faire occasionnellement et l’autre moitié régulièrement. Ces chiffres n’estiment pas la proportion d’aliments achetés en vrac. 

 

Mais alors pourquoi achètent-ils en vrac ? Le podium est largement dominé par la volonté de réduire ses emballages (70%) puis vient le choix de la quantité qui est un avantage notable pour les consommateurs. 

 

Les industriels proposent de plus en plus de solution avec des consignes, ses propres contenants etc. mais la transition se fait encore lentement. 

Sources