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Nazila Senehipour. D’après un article paru dans foodingredient.com, le 1 octobre 2009.

Alors que la Commission Européenne finalise une proposition pour déterminer la forme et les niveaux d’acides gras oméga 3 nécessaires pour revendiquer les allégations « riche » et « source », la FSA Anglaise fait savoir son désaccord.

Certains des experts pensent que cette réglementation induirait en erreur les consommateurs, puisqu’il ne distinguerait pas les sources marines d’EPA et de DHA et les sources végétales d’ALA. La FSA souhaite que les allégations autorisées par l’Europe ne trompent pas les consommateurs en leur faisant croire qu’ils peuvent atteindre les recommandations de consommation de DHA et d’EPA via d’autres sources que l’huile de poisson.

Le gouvernement Anglais conseille aux consommateurs de consommer 450 mg/jour d’EPA ou de DHA pour pouvoir profite des bénéfices cardiovasculaires.

La proposition de la Commission Européenne autoriserait les produits alimentaires à déclarer “source” ou “riche” en oméga3 s’ils contiennent une quantité significative des apports de reference, soit 250 mg d’EPA ou de DHA et 2g d’ALA.