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Anne-Sophie Malhère. D’après lepointsurlatable.fr, juillet 2016.

La CLCV, association nationale de défense des consommateurs et usagers, s’est penchée sur les étiquettes des produits à base de poisson afin d’en évaluer la qualité ainsi que l’information fournie aux consommateurs. Au total, 237 produits de marques nationales et distributeurs ont été passés au crible dans 7 catégories : panés, hachés, rillettes, surimis, soupes, parmentiers et brandades et plats cuisinés.

Au sein de toutes les catégories, les quantités de poisson varient beaucoup : du simple au triple pour les soupes, faibles dans les panés (< 50 %) et encore mal indiquées sur l’étiquetage.

Dans les produits transformés, l’utilisation de filets de poisson est rare (hors plats préparés et panés) : seulement 24 % des références analysées. La matière première est souvent de la chair de poisson, dont la définition n’est pas clairement établie. Les étiquettes ne précisent généralement pas s’il s’agit de filet ou de chair (sauf surimis).

Les panés destinés aux enfants semblent de moins bonne qualité que les autres : moins de filet (30 % au lieu de 52 %), moins riches en poisson (protéines) du fait de l’ajout de purée de pommes de terre ou du fromage, un peu plus riches en sel, sucres et matières grasses saturées.

La CLCV regrette que la déclaration des espèces mises en œuvre et la précision de la provenance ou origine ne soient pas systématiques.

Pour en savoir plus, cliquez ici.

Dans le même temps, l’Adepale vient de rendre publique les résultats de son enquête sur l’image, l’usage et le comportement des Français vis-à-vis des conserves de poissons.