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Lors de Meet’in Agro 2019, Daniel Nairaud, le Directeur du FFAs, a été interrogé au sujet des applications nutritionnelles destinées à accompagner le consommateur dans le choix de ses produits alimentaires.

Daniel Nairaud rappelle dans un premier temps que les applications nutritionnelles sont relativement récentes, mais qu’elles font suite à la mise en place d’Open Food Facts qui elle est plus ancienne (2012). C’est à partir de cette base de données descriptives que sont apparues les premières applications de notation.

Le Directeur du FFAS prévoit une vague deuxième génération – voire une troisième – de ces applis car “la première ne suffit pas”, elle s’arrête au choix du produit mais ne va pas plus loin : accompagnement à la préparation, équilibre entre les produits… Même si les études des applications montrent des améliorations au moment de l’acte d’achat, ces outils ne suffiront pas à améliorer l’alimentation à l’échelle individuelle, la nutrition doit être prise en compte de façon plus globale.

L’objectif de ces nouvelles générations d’application sera d’aller plus loin en proposant par exemple des portions recommandées et en personnalisant l’alimentation. La personnalisation sera possible grâce au “digitosome”. Le terme vient d’être inventé par une équipe Inserm, il désigne “toutes les données produites par un individu au cours de son existence”.

Sources : www.processalimentaire.com ; Process Novembre 2019

Visuel : www.sciencesetavenir.fr