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Céline Le Stunff. D’après un communiqué de l’Inserm
Une équipe française dirigée par Philippe Froguel (CNRS) et David Meyre (Inserm), associée à des chercheurs britanniques de l’Imperial College, vient d’établir, grâce aux puces à ADN, la première carte génétique de l’obésité sévère. Après avoir "balayé" le génome entier de 2 796 volontaires français, notamment des enfants, ils ont analysé, chez 14 000 européens, les mutations génétiques les plus susceptibles de provoquer l’obésité. Ils ont également identifié 3 nouveaux gènes associés au risque d’obésité sévère et à la prise de poids. Selon le docteur Froguel, ces pistes pourraient aider "à trouver des médicaments qui permettraient de bloquer les troubles de l’obésité."