Cet article est PREMIUM, et nécessite un abonnement payant pour lire la suite
Créez votre compte dès maintenant puis contactez-nous pour accéder aux articles Premium et/ou Lettre Export.
Temps estimé - 3 min
Les consommateurs sont de plus en plus sensibles à l’impact environnemental des produits qu’ils achètent. Cependant, la prolifération de mentions environnementales suscite des interrogations légitimes : Quelle est la signification exacte du terme “bio” ? Quelles distinctions peut-on établir entre les allégations, les labels et les informations liées à la qualité des produits ?
Le Conseil National de la Consommation (CNC) a récemment mis à jour son guide pour en faire un outil pratique permettant de discerner ce qui est permis de ce qui ne l’est pas. Bien que les allégations environnementales abordées dans ce guide concernent principalement les produits non alimentaires, il énonce les principes généraux qui sont également applicables aux produits alimentaires.
Quelle que soit l’allégation utilisée, il est essentiel qu’elle ne trompe pas le consommateur en lui laissant croire que le produit n’a aucun impact sur l’environnement. Elle doit être fiable, claire, précise, justifiée et vérifiable.
Le guide aborde la méthode à suivre pour établir une allégation environnementale conforme à l’éthique, tout en traitant des allégations spécifiques concernant les entreprises, les biens et les services.
La Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF) a relayé ce guide sur son site internet, en y ajoutant une infographie intitulée “Allégations environnementales : ce qu’il faut retenir”.
L’infographie synthétise les principales allégations et fournit des informations essentielles, telles que “Qu’est-ce qu’une allégation environnementale ?” ou “Que faire en cas de doute ?”.
Sources: