Cet article est PREMIUM, et nécessite un abonnement payant pour lire la suite

Je m’identifie
Créer mon compte

Créez votre compte dès maintenant puis contactez-nous pour accéder aux articles Premium et/ou Lettre Export.

Inscription

Temps estimé - 3 min

Clarisse Lemaitre. D’après l’Anses, le 26 février 2016.

L’Anses a été saisie par la Direction générale de la santé afin d’actualiser les repères nutritionnels du PNNS relatifs à l’activité physique et à la sédentarité.

Dans son rapport, l’Agence recommande :

  • de favoriser la pratique d’activités physiques, de types différents (cardio-respiratoire, renforcement musculaire, souplesse) et en identifiant toutes les occasions de pratique à tout moment de la journée, étant entendu que l’activité ne doit pas se limiter à la pratique sportive ;
  • d’encourager la réduction des comportements sédentaires, en réduisant la durée totale passée quotidiennement assis et en interrompant les temps prolongés de sédentarité par des pauses actives. ;
  • de promouvoir la pratique de l’activité physique et la réduction de la sédentarité en offrant des environnements favorables à leur bonne pratique : milieu de travail, temps scolaire, transports et déplacements, etc.

L’Anses propose dans son avis une série de recommandations adaptées et accessibles à chaque population : enfants et adolescents, adultes, personnes âgées, femmes en période de grossesse… L’objectif de ces recommandations est de permettre l’adoption d’un mode de vie actif dès le plus jeune âge, dans un environnement favorable, tout en réduisant les situations d’inégalités observées en matière d’activité physique et d’inactivité.

L’Anses martèle que c’est bien la concomitance de l’augmentation de l’activité physique et la réduction des temps cumulés et continus de sédentarité qui produira les effets les plus marqués sur la santé.

Pour aller plus loin : Avis et rapport de l’Anses « Actualisation des repères du PNNS – Révisions des repères relatifs à l’activité physique et à la sédentarité ».