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Marie Deniel. D’après Journal of Functional Foods, janvier 2012.

Des études in vitro et in vivo ont été menées pour identifier un effet suppresseur d’appétit lié à des molécules dérivées d’hydrolysats de protéines de poisson et ce, pour démontrer l’effet satiétogène des hydrolysats issus du muscle du merlan bleu.

Pour la première fois, cette étude montre que l’hydrolysat protéique issu d’une source marine est capable d’augmenter la sécrétion de cholecystokinine (CCK) et du glucagon-like-peptide-1 (GLP-1) dans la lignée cellulaire STC-1. Pour démontrer que cette activité in vitro existe également in vivo, l’effet d’une administration de l’hydrolysat protéique issu du muscle de merlan bleu a été étudié chez des rats sur leur prise alimentaire et leurs marqueurs plasmatiques. Les résultats indiquent que l’hydrolysat a permis de réduire à court terme la prise alimentaire des animaux, ceci étant corrélé à l’augmentation de leurs niveaux plasmatiques en CCK et GLP-1. De plus, une administration chronique de l’hydrolysat a conduit à une diminution de la prise de poids corporel.

 

Référence : Benoit Cudennec, Martine Fouchereau-Peron, Faty Ferry, Elisa Duclos, Rozenn Ravallec. In vitro and in vivo evidence for a satieting effect of  fish protein hydrolysate obtained from blue whiting (Micromesistius poutassou) muscle. Journal of Functional Foods, online publication : 4 January 2012.