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D'après 60 millions de consommateurs, juin 2019
Avec la grande offre des produits destinés à l’alimentation infantile, difficile de faire le tri et de s’y retrouver. C’est la raison pour laquelle le magazine 60 millions de consommateurs a effectué un focus sur ces produits.
En ce qui concerne les différents laits infantiles, purées ou compotes, mis sur le marché, le magasine rapporte qu’il n’y pas d’inquiétude à avoir. En effet, ils ont testé une cinquantaine de produits (30 références de laits, une vingtaine de purées de carottes et compotes de pommes).
Ces tests ont permis d’évaluer différents critères notamment microbiologiques pour lesquels les différents laits ne présentent aucun risque. Seules deux références ont véritablement déçu avec la présence d’une bactérie à une dose inférieure à la limite réglementaire. Une de ces deux références en question présentait également un résidu de pesticides en très faible quantité, certes, mais cette présence est tout juste tolérée dans la mesure où ce lait se présente comme bio.
Pour les petits pots de compote de pommes, les résultats sont très bons avec une liste d’ingrédients très courte à chaque fois. Cependant, la présence d’un résidu de pesticides dans la quasi-totalité des produits testés s’est révélée être le seul vrai point négatif. Les différents purées testées sont également bien notées avec encore une fois une liste d’ingrédients courtes pour la plupart.
En somme, avec ce test, le magazine nous apprend que l’ensemble des produits testés sont conformes à la réglementation, notamment sur les aspects nutritionnels.
En plus de ces tests, le journal donne quelques astuces pour diversifier l’alimentation du bébé. Cette dernière ne doit pas intervenir avant 4 mois tout d’abord, avec possibilité (ceci est même conseillé) d’une incorporation à partir de 6 mois, d’aliments allergisants à petites doses de façon régulière, tel que le poisson, les fruits à coques, les œufs etc… Ils précisent également que tous les mélanges sont envisageables seulement à partir d’1 an. Enfin, il ne faut pas négliger les acides gras essentiels qui doivent représenter 40 à 45 % de la ration énergétique de l’enfant et ce de 1 à 3 ans.
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Crédit photo : Pixabay
