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Céline Le Stunff. D’après le dossier de presse du 18 mars 2013

Dans le domaine alimentaire, l’accent sera mis par l’Anses en 2013 sur le renforcement des moyens de contrôle et de détection mis à disposition des pouvoirs publics par nos laboratoires de référence.

Une centaine de nouvelles méthodes de détection seront développées dans les trois années à venir pour le contrôle de la chaîne alimentaire et de l’eau destinée à la consommation humaine, afin de caractériser les risques émergents. Les efforts porteront notamment sur la détection de virus à l’origine d’intoxications alimentaires, sur l’identification rapide de gènes de virulence de nouvelles souches de bactéries, ou encore de nouvelles modalités de détection de parasites dans les poissons. Concernant les contaminants chimiques, seront développées de nouvelles méthodes permettant de rechercher dans une même analyse plus d’une centaine de pesticides ou de résidus d’antibiotiques, ce qui permettra de gagner fortement en efficacité.

L’année 2013 verra par ailleurs la publication par l’Anses de plusieurs rapports et avis très attendus, notamment dans le domaine de la sécurité alimentaire :

♦ la finalisation du travail sur l’évaluation des risques liés aux expositions au bisphénol A et aux autres composés de la famille des bisphénols (dans le cadre des travaux menés sur les perturbateurs endocriniens),

♦ l’évaluation des risques liés à la consommation de boissons énergisantes, associée à un rapport sur les consommations de ces boissons, suite à plusieurs signalements d’effets indésirables graves. 

Enfin, l’Anses met en œuvre les nouvelles exigences en matière de déontologie de l’expertise et a lancé un nouveau site Internet.