Cet article est PREMIUM, et nécessite un abonnement payant pour lire la suite
Créez votre compte dès maintenant puis contactez-nous pour accéder aux articles Premium et/ou Lettre Export.
Temps estimé - 3 min
Clarisse Lemaitre. D’après le portail OQALI, décembre 2015.
L’OQALI a édité 4 nouvelles études sectorielles, dont « Panification croustillante et moelleuse – évolution 2009-2012 ».
Données :
-
581 références collectées par l’Oqali en 2009 (couvrant 55% du marché en volume) et 1035 références collectées en 2012 (couvrant 76% du marché en volume), en GMS
- La classification utilisée par l’Oqali décompose le secteur en 31 familles de produits (17 en 2012) : brioches, pains de mie, biscottes, pains au lait, viennoiseries…
Principales conclusions :
1) Évolution des paramètres d’étiquetage
-
Entre 2009 et 2012, les fréquences de présence de tous les paramètres d’étiquetage ont significativement augmenté, à l’exception de celle des allégations de santé dont l’évolution n’est pas significative ;
-
Augmentation significative des étiquetages nutritionnels au niveau du secteur (91% à 96%) ;
-
Augmentation significative des allégations nutritionnelles à l’échelle du secteur (14% à 20%) ;
-
La proportion de produits avec au moins une allégation de santé s’élevait à 3% en 2009 et n’a pas beaucoup évolué. On note même une diminution significative de la présence de ces allégations pour les marques nationales (13% à 6%) ;
-
Augmentation de la présence de repères nutritionnels (46% à 70%), de portions indiquées (59% à 81%) et de valeurs nutritionnelles par portion (43% à 77%).
2) Évolution de la composition nutritionnelle
Entre 2009 et 2012, les variations des teneurs moyennes des familles sont comprises :
-
entre -1,3 et +4,2 g/100g pour les sucres ;
-
entre -4,8 et +1,0 g/100g pour les lipides ;
-
entre -2,9 et +0,4 g/100g pour les AGS ;
-
entre -1,9 et +0,9 g/100g pour les fibres ;
- entre -0,05 et +0,05 g/100g pour le sodium
Pour certaines familles, des différences significatives ont été mises en évidence au niveau des segments ou des sous-groupes. Néanmoins, ces évolutions n’impactent pas la composition nutritionnelle moyenne à l’échelle de la famille.
Pour aller plus loin : Étude d’évolution données 2009 vs. 2012 – Rapport – Synthèse