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Anne-Sophie Malhère. D’après un avis de l’ANSES paru le 5 Août 2011.

Le 2 Août dernier, l’ANSES a été saisie par la DGAL (Direction Générale de l’ALimentation), la DGS (Direction Générale de la Santé) et la DGCCRF d’une demande d’avis sur l’évaluation des risques liés à la consommation de graines germées crues suite à l’évolution du contexte sanitaire de survenue de plusieurs cas de Syndromes Hémolytiques et Urémiques (SHU) observés en France en juin 2011. Pour rappel, dans un communiqué de presse datant du 28 juin 2011, les autorités françaises avaient recommandé aux consommateurs, à titre préventif, de ne pas consommer de graines germées crues. Début juillet, les autorités européennes identifiaient des lots de graines de fenugrec importées d’Egypte entre 2009 et 2011 comme sources les plus probables de contamination. Suite à cela, des mesures de retrait, rappel et destruction ont été mises en œuvre sur les lots de graines incriminés. En parallèle, les producteurs français de graines germées se sont également engagés à renforcer les mesures de contrôle sur leurs produits. Les experts de l’ANSES ont ainsi conclu que de nombreux arguments allaient en faveur d’une levée de restriction de la consommation de graines germées crues, produites par les professionnels de la filière française, à l’exception des graines de fenugrec et fèves évoquées dans la décision de la Commission Européenne. 

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