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Margaux Harrault. D’après un communiqué de la DGCCRF du 1er août 2013.

Dans cette enquête, la DGCCRF a contrôlé le bien-fondé des mentions valorisantes appliquées sur les produits et les publicités et a vérifié que la mise en avant des ingrédients n’était pas faite de façon inappropriée. Les contrôles, menés au stade de la production, ont porté sur les plats cuisinés au sens traditionnel du terme, qu’ils soient frais, surgelés ou appertisés.

Les principales anomalies portaient sur :

  • la mise en valeur disproportionnée d’un ingrédient ou de la recette d’un plat cuisiné (taille de la police, quantité de l’ingrédient, représentation graphique, etc.) ;

  • le non-respect des dénominations règlementaires et d’usage ;

  • le non-respect de la mention des listes d’ingrédients constitutifs du plat cuisiné ;

  • la communication trompeuse sur la “naturalité” des produits et le caractère traditionnel des recettes et/ou procédés de fabrication.

Les mentions valorisantes concernent la présence d’un ingrédient spécifique (d’origine animale, par exemple), le recours à un procédé de fabrication (artisanal, par exemple), l’absence d’additifs et de conservateurs ou encore la référence géographique pour des recettes.