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Un an après le lancement de l’Eco-Score, le collectif indépendant, dont font partie 11 acteurs comme Open Food Facts ou les applis Yuka et ScanUp, fait un premier bilan.
400 000 produits alimentaires sont aujourd’hui évalués et quatre millions de personnes ont déjà consulté l’Eco-Score via Yuka, Scan Up, les drives ou des sites de recettes.
L’affichage environnemental est incontestablement une information attendue et recherchée par les consommateurs. Cependant, les critères pris en compte par l’Eco-score (analyse du cycle de vie, recyclabilité des emballages, labels, provenance) ne semblent pas suffire. Des indications sur le bien-être animal, les conditions d’élevage ou les pesticides sont aussi attendues par les consommateurs. Ces critères rappellent ceux du Planet score qui est, au même titre que l’Eco-Score, en phase d’expérimentation. (Voir article précédent : Affichage environnemental : le Planet-score en test sur des sites de e-commerce ).
Dans cette dynamique, l’enseigne Carrefour qui testait l’Eco-Score, va compléter son expérimentation sur l’affichage environnemental en intégrant le Planet score sur 150 produits.
Courant 2023, l’affichage environnemental prévu dans la loi climat et résilience devrait être généralisé. Comme l’indique le rapport final du Conseil Scientifique : des expérimentations complémentaires sont à conduire pour évaluer les formats d’affichage, tant en matière de compréhension et de connaissance des consommateurs, que du choix des produits et d’impacts environnementaux. (Voir article précédent: Affichage environnemental rapport final du Conseil Scientifique)
Sources :
Linéaire: Premier bilan un an après sa mise en route (Consulté le 28/01/2022)
UFC-Que Choisir: Quand les études sur l’Eco-Score plaident pour le Planet Score (Consulté le 28/01/2022)
