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Nazila Senehipour. D’après un article paru dans Journal of Nutrition, décembre 2008.

A l’heure actuelle, peu d’études se sont penchées sur l’impact de la consommation des produits de la mer sur le statut sanguin en acides gras oméga 3 longues chaînes DHA et EPA. C’est l’objet de ce papier qui a exploité les données issues des 900 participants de l’étude MESA (Multi-Ethnic Study of Atherosclerosis), sans consommation de compléments alimentaires à base d’huile de poisson.

L’analyse des données suggère que les concentrations sanguines en EPA et DHA étaient positivement corrélées avec la consommation de poissons non frits dans les 4 groupes ethniques, contrairement à la consommation de poissons frits, ou de mélanges de poissons et de coquillages.
Il y aurait un effet plateau sur les concentrations sanguines en oméga 3 suite à la consommation de poissons non frits au moins 2 fois par semaine.

Cette étude souligne l’importance des modes de cuisson (friture ou pas) et du type de produit de la mer (poisson vs coquillage) sur les apports en acides gras oméga 3.

Référence : Hyoju Chung, Jennifer A. Nettleton, Rozenn N. Lemaitre, R. Graham Barr, Michael Y. Tsai, Russell P. Tracy, and David S. Siscovick . Frequency and Type of Seafood Consumed Influence Plasma (n-3) Fatty Acid Concentrations. J. Nutr. 2008 138: 2422-2427.